« Chez Danièle Perré, le peintre prend possession de l’espace par le dessin. Une ligne courbe ondule, voile de navire caressée par les vents, et se termine en boucle dans un mouvement qui ne renie pas les grâces des gestes décoratifs. Où trouve-t-on des formes aussi foisonnantes que dans des souches desséchées ? Perré les couvre de gris ou satin nacré ou se révèle une maîtrise du poignet qui a autant de force que de grâce dans les dessins et gouaches. »
Jacques Michel – Le Monde, 22 mai 1964.
« Danièle Perré affirme dans l’extrême rigueur de sa discipline plastique les exigences de sa personnalité. À l’acuité de son dessin répond l’exactitude des valeurs de ses coloris en grisaille. Mesure et retenue sont les qualités fondamentales de cet art austère et pourtant émouvant… mais sans nulle concession à la sensiblerie. »
R.V. Gindertal – Les beaux arts, Bruxelles, 4 juin 1964.